Danse en trois temps, une soirée inédite de vidéodanse où Louise Lecavalier danse le solo « Blue », adapté de certaines chorégraphies de So Blue. Tourné au Parc Olympique, ce triptyque comprend aussi les pièces Naraka, un pas de deux de Guillaume Côté et Maude Sabourin des Grands Ballets canadiens, et Vraiment doucement, conçu par Victor Quijada pour sa compagnie Rubberband. Danse en trois temps est une réalisation de François Blouin.
Diffusion : Vendredi 19 mars, 22 h En rappel : Dimanche 21 mars, 20 h 30
Présenté en simultané et en rattrapage gratuitement sur telequebec.tv et sur l’application Télé-Québec.
Montréal, le 15 décembre 2017 — L’Université du Québec à Montréal (UQAM) a honoré ce soir Louise Lecavalier en lui attribuant le titre de docteure honoris causa. Par ce geste, l’Université reconnaît sa prodigieuse créativité ainsi que le rayonnement international de son talent. La cérémonie s’est déroulée dans le cadre de la présentation de Quelque chose de sauvage, le spectacle des finissants en danse de l’UQAM. À cette occasion, un éloge en l’honneur de Louise Lecavalier a été lu par le recteur de l’Université, M. Robert Proulx.
Le doctorat honoris causa est la plus haute distinction qu’une université peut décerner. Louise Lecavalier rejoint ainsi des personnalités telles que Denis Villeneuve, Alexandre Taillefer, Réjean Thomas, Sheila Fraser, Danny Laferrière, Bernard, Laurent et Alain Lemaire, Jean Lemire, Yannick Nézet-Séguin, Hubert Reeves, Isabella Rosselini, Michèle Thibodeau-Deguire, Gilles Vigneault, Lise Watier, et Wim Wenders, pour n’en mentionner que quelques-unes, que l’UQAM a honorées au fil des ans.Salle de Presse – UQAM
Artiste émérite de la danse, Louise Lecavalier devient cette année la lauréate du prix Denise-Pelletier, la plus prestigieuse distinction accordée par le gouvernement du Québec dans le domaine des arts de la scène. Louise Lecavalier recevra son prix le 1er novembre des mains de la ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion de la langue française, Mme Marie Montpetit, au cours d’une cérémonie officielle qui se déroulera à l’Hôtel du Parlement à Québec.
Elle rejoint donc les Ludmilla Chiriaeff (1980), Fernand Nault (1984), Jeanne Renaud (1988), Vincent Warren (1992), Martine Époque (1994), Édouard Lock (2002), Anik Bissonnette (2008) et Marie Chouinard (2010), ses illustres prédécesseurs du domaine de la danse, tous lauréats du prix Denise-Pelletier, qui existe depuis 1977.
Mille batailles, c’est d’abord une danse folle et inclassable, librement inspirée du Chevalier inexistant d’Italo Calvino. La scène est un ring, où deux antihéros livrent mille batailles extrêmes. Leur quête haletante se déploie sous les climats électroniques teintés de trance, techno minimaliste et glitch d’Antoine Berthiaume, où dialoguent le jeu singulier des guitares, la richesse des synthétiseurs et l’abondance de microéchantillons organisés fortuitement. La guitare se fait tantôt vive et cristalline, tantôt grinçante, subtile ou envoûtante. Un voyage musical percussif et métallique aux rythmes obsédants, qui nous fait courir comme un cheval fou et nous emporte du début à la fin.
En tournée pour les deux prochaines saisons, le spectacle Mille batailles, chorégraphié par Louise Lecavalier, est également aujourd’hui un album, composé, interprété, réalisé et mixé par Antoine Berthiaume, avec la complicité de ses acolytes Maxime Morin (Dj Champion), Marc Leclair (Akufen) et Rob Heaney.
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