«… Un reflet contrôlé de son propre déchaînement, une libération du corps et de l’esprit, contrôlée jusqu’à la manie, une constante remise en question, délimitation et redéfinition des limites humaines. Oser l’inconcevable, l’inimaginable. […] Et la façon dont Lecavalier y arrive crée l’enthousiasme en plus de couper le souffle. »
- Neue Kronen Zeitung, Salzbourg
« Dès la première seconde, on le sait : l’heure qui s’ouvre va nous ficeler sur nos sièges. […] C’est époustouflant. »
- Neue Rhein Zeitung, Düsseldorf
« D’abord seule, comme emportée par la foule, résistant à un tourbillon qui l’emporte de jardin à cour, Louise Lecavalier, en survêtement bleu, […] est une étoile filante à toute allure, prise dans l’accélération de l’époque. »
- Libération, Paris
« Ne jamais arrêter de bouger. La chorégraphie, aux accents de rave, s’accompagne d’une musique électronique, d’effets de réverbérations sonores et de jeux de lumières discrètement projetés sur le panneau de bois. La dégradation cyclique du blanc voilé vers le jaune pâle puis le rouge incandescent imite une ligne d’horizon et évoque le passage du temps. Il n’y a que ces deux corps, sous perfusion de mouvements, dans un espace-temps vide et sans issue. La fatigue se ressent mais ne frappe jamais, comme un trip sans fin. Dehors, le monde est peut-être déjà anéanti, qu’importe, il faut renaître, par le corps, toujours. »
- Mouvement.net, Paris
« Une danse nerveuse, syncopée et traversée d’une énergie électrique, voire atomique. »
- La Presse, Montréal
« So Blue montre ce dont le corps est (et reste) capable. Rien que le début […] est renversant : de l’énergie pure, rien que du « speed », une maîtrise parfaite des mouvements, contrôle et discipline. Et même dans le calme se niche la puissance la plus contrôlée possible. »
- Salzburger Nachrichten, Salzbourg
« Louise Lecavalier triomphe au FTA Montréal. La fougue et l’invention du geste, le résultat d’une vie passée à danser. »
- Le Téléjournal, Radio-Canada
« Elle surprend le spectateur aux lieux ténus de l’imprévu au surgissement du bouger. Viscéralement électrique, accordée aux poèmes de Rumi, elle cherche l’extase scénique de sa transe. […] C’est une transe sportive, hallucinante. Quasi droguée, qui capte notre temps. […]La chorégraphe n’a pas de frontières ; on sent que sa sorcellerie est une danse nerveuse, qui brave les limites et les interdits. Un rite spectaculaire. »
- Spirale, Montréal
« Louise, mi-machine infernale, mi-animal fabuleux, mi-femme, mi-déesse, sorte de mutante aux multiples pouvoirs, dont celui de nous émouvoir terriblement. »
- Dansercanalhistorique.com, Paris
« Une expérience rare, une vitalité partagée. […] Sa danse est échange, rencontre, temps présent. […] La sorcière bleue vous instille la danse, goutte à goutte. »
- Ballroom, Revue.net
« Sa capacité à laisser le corps exprimer toute sa vérité nous submerge. »
- Dance international, Vancouver
« Dans le tranchant d’une gestuelle intranquille, à la beauté débridée, […] Louise Lecavalier d’abord seule puis rejointe par Frédéric Tavernini défie la raison et projette le tumulte intérieur, notre part obscure. »
- Dernières nouvelles d’Alsace, Strasbourg